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la Calonne

La Calonne prend sa source à 197 mètres d'altitude pour la finir à 8 mètres d'altitude. Grossie par trente et un affluents elle est, avec la Paquine (autre affluent de la Touques), l'un des deux seuls cours d'eau du département de l'Eure qui ne soit pas tributaire de la Seine.

C'est à Bonneville-la-Louvet qu'elle retrouve le Calvados. Bien que modeste, cette rivière reçoit de nombreux petits ruisseaux  (16 sur la rive droite et 15 sur la rive gauche) qui, lors de pluies abondantes ou de fonte de neige, gonflent rapidement son débit la sortant de son lit.

 

Au 19ème siècle, la Calonne jouait un rôle économique important pour les communes qu'elle baigne comme celles de Bailleul-la-Vallée et de Bonneville-la-Louvet ou encore celle de Cormeilles où elle permettait le fonctionnement de tanneries, de mégisseries et même de parchemineries. La Calonne permettait également la production d'électricité grâce à l'ancien moulin à blé transformé en usine hydroélectrique.

 

La Calonne est un cours d'eau particulièrement propice à la reproduction des salmonidés, et en premier lieu des truites de mer, puisqu'elle constitue le premier affluent d'importance vers leurs frayères.

le parcours sur la Calonne

Classée en 1ère catégorie piscicole sur tout son cours, la Calonne héberge de nombreuses espèces de poissons migrateurs (anguille et truite de mer). Elle est classée cours d'eau à migrateurs. Cela reste toutefois une rivière très "sportive" et les parcours sont avant tout praticables par des pêcheurs plutôt expérimentés. 

La truite fario sauvage y trouve d'excellentes zones de reproduction et de croissance. Elle est à rechercher de préférence avec des techniques comme le toc ou l'ultra léger.

 

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En 2017, l'APALVA a décidé de gérer une partie de la Calonne avec des déversements de truites surdensitaires et d'en laisser une autre en gestion patrimoniale (voir la carte ci-contre).

 

Sur la Calonne, l'APALVA propose un parcours pour les jeunes pêcheurs.

 

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